• Expédition au pays des Mimi-Siku

    Commençons par le début. Comment organise-t-on un séjour dans l'Amazonie équatorienne? Ben en fait c'est pas aussi simple qu'il n'y paraît!! Entre la redescente de notre sommet et notre départ pour les Galapagos, on a 8 jours desquels on aimerait profiter pour aller faire un tour en Amazonie. Jusque là tout est simple. On se renseigne un peu et notre choix se fait assez vite pour le parc Cuyabeno, situé au Nord Est du pays, qui présente les paysages les plus fous (comparé à l'autre parc, le Yasuni, qui est de plus en plus ravagé par les exploitations pétrolières). Jusque là tout est simple. On rencontre du coup quelqu'un qui bosse dans une agence à Latacunga qui nous propose un séjour dans un lodge "tout confort" dans la réserve de Cuyabeno, avec tout compris: le transport, la bouffe, l'hébergement... Mais nous, en tant que Gringos pas comme les autres, on ne veut pas se contenter d'un truc de touristes à la con, on veut vivre la vraie Amazonie, dans une communauté en mode survivor, alors on dit non à ce cher monsieur. Jusque ici tout est encore (presque) simple. Et on se met à chercher à faire du tourisme communautaire - c'est un système d'échange en fait, tu vis avec eux, tu leur files un coup de main et eux te font découvrir la forêt, le top quoi. Et là ça commence un peu à se gâter... Parce que faire ça à la dernière minute c'est compliqué, les mecs répondent pas, ils sont dans la jungle et là bas on peut difficilement compter sur le réseau téléphonique. Mais au bout d'une aprèm entière à passer des coups de fil, on tombe sur César, un mec qui vit à Lago Agrio (ville frontalière avec la Colombie, où y'a rien à faire ni rien à voir, mais d'où partent toutes les excursions). Et on doit le rencontrer le lendemain là-bas. Parfait :) Jusque ici donc tout est encore simple...

    Je vous passe la galère de notre bus de nuit pour rejoindre Lago Agrio parce que sinon vous allez croire que le seul truc qu'on fait ici c'est vivre des galères de bus de nuit et nous voilà donc à la terrasse du resto de notre hôtel, avec César et son ami pour discuter du programme. Ce qu'on savait pas c'est que César n'a aucune idée de ce qu'on peut faire, de ce qu'il peut nous proposer etc. C'est pas comme notre Mauricio (cher à notre Lolo fétiche) qui te fait payer des trucs que tu dois pas payer mais qui connait son affaire, non non lui il sait pas. Il te décrit les différentes communautés mais il ne sait pas laquelle peut t'accueillir, les prix tout ça, et il nous aura fallu une aprèm, 3 personnes et des heures à parler avec eux pour rien pour savoir que c'est pas les mêmes prix que ceux dont il nous avait parlé au téléphone la veille. On est donc passé de la bonne affaire à 5$ par repas et 10$ par nuit, à 400$ de transport + 120$ par personne par jour sur place. Et là, ben on est franchement deg, parce que payer des milles et des cents pour dormir sur la paille et bouffer des criquets ça semble quand même un peu abusé... Ça sera donc pour une autre fois :(

    Et nous du coup, on est marron alors on cherche un lodge à touristes, histoire de ne pas être venus jusque ici pour rien, et le seul qui n'est pas complet tenez vous bien, c'est celui qu'on nous a proposé à Latacunga (option qui nous aurait par la même occasion épargné notre grosse galère de bus). Comment on le sait? Une femme qui tient un lodge (complet) est venue à 21h30 à notre hôtel pour nous trouver un séjour. Super sympa vous pensez? C'est ce qu'on s'est dit aussi. Mais Caïman Lodge (le seul donc dans lequel il reste des places) ne veut pas nous prendre parce qu'on est que 2, et arranger le transport et tout pour seulement 2 personnes c'est pas assez rentable pour eux. Donc on est de nouveau marron, et on se dit qu'on perdra encore la journée de demain à se trouver une bonne excursion.

    Le lendemain, au hasard, on commence à faire le tour des agences et on passe par celle de Caïman Lodge du coup et tiens !!!! y'a pas de problème, y'a des places et le matin même sont partis deux autres personnes :) SEULES ! Pourquoi vous vous dites? Ben parce que le patron de Caïman Lodge ne peut pas blairer la fille qui nous a aidé la veille, et c'est pour ça qui lui a dit non, mais évidemment l'autre s'est bien gardé de nous dire la vérité histoire de ne pas perdre sa commission... La s.....!
    Et bref dans cet agence, on se démerdera même à s'organiser un séjour avec guide privé, où on naviguera à la rame et pas dans un canoë/bus à moteur au milieu de 15 autres personnes, pour visiter des endroits où les canoës à moteur ne vont pas, et où on dormira dans la tente, en plein milieu de la jungle...
    LE TOOOOOP :) :) :) :) :) Tout fini bien... Départ prévu le lendemain, et ouais vous vous en doutez, RIEN ne peut arrêter les Gringos, RIEN :)

    Le lendemain nous voilà donc partis en direction de Caïman Lodge. Deux heures de bus, et c'est parti pour deux heures de canoë (à moteur celui-là) jusqu'au lodge. On commence l'observation des animaux sauvages, les singes, les oiseaux etc.
    Mais nous on est pas là pour voir des bébêtes, nous on veut des anacondas et des caïmans. Ah oui j'ai oublié (oui je sais quand on écrit ça sert à rien de dire ça, il me suffit d'insérer la phrase dans le paragraphe d'avant mais comme ça quand vous lisez vous avez l'impression que je vous parle et vous entendez ma voix - you're welcome) on a quand même eu le droit à un "petit" Boa Constructor de 2m50 entre le bus et le départ du canoë. Il était blessé sur le bord de la route et un guide l'a récupéré au passage pour le ramener dans le parc... Une situation banale quoi... Comme quand nous on ramène un caniche perdu :) Je reprends, donc on est dans notre canoë et on arrive à notre lodge au beau milieu de la nature, et on se sent déjà dépaysé, qu'est ce que ça va être quand on sera dans la tente ?! On rencontre un couple d'espagnols qui travaillent à Quito (et qui donc sont arrivés tous seuls la veille^^) et on part avec eux et un guide en canoë à rame pour naviguer au coucher du soleil. On aperçoit des dauphins (oui on le savait pas non plus mais les dauphins d'eau douce ça existe), d'autres oiseaux et un paresseux. Le paresseux c'est le genre d'animaux qui te fatigue tellement il bouge lentement. C'est éprouvant de le regarder vivre, vraiment :) On dirait moi quand je me lève à l'aube (avant midi quoi haha). Petit coucher de soleil sympathique et on rentre pour dîner et faire dodo parce que demain on attaque! À nous l'aventure :)

    Levés vers 8h, on mange un bout, et on se tire. On remonte le fleuve, et on continue à observer la vie sauvage. Alors oui je fais une petite parenthèse: à chaque minute, à chaque seconde de notre voyage on observe la vie sauvage, mais l'idée de vous le signaler à chaque fois me fatigue déjà donc je me contenterai de vous signaler les animaux marquants. Sinon cet article va ressembler à une sortie de classe de SVT de 4ème où on répertorie chaque animal aperçu comme si c'était pas juste bien plus sympa seulement les regarder pour le plaisir des yeux (oui j'ai toujours adoré la SVT :). Donc prenez pour acquis qu'on observe la nature, à chaque seconde :)

    Après deux heures de ramage, on se pose sur au lieu de notre campement et on monte la tente. On est vraiment au milieu de rien c'est énoooorme. On mange et on retourne naviguer parce que si ce soir on veut pas manger du thon en boîte, il faut pêcher, et pas n'importe quoi, des piranhas... (oui on est aussi parti naviguer pour observer la vie sauvage de la forêt haha). Cannes à pêche artisanales en main, nous voilà posés sur notre barque, avec de la peau de poulet comme appât (ça change des verres degueus que Tonton nous filait en Corse) et on attend le moindre signe de "ça mort!"... Mais ça sera plus compliqué que prévu, parce que notre cher guide Wilson (oui je sais c'est cocasse de partir au fin fond de l'Amazonie avec un mec qui porte le nom du ballon de volley, seul compagnon de Tom Hanks dans le film Seul au monde :) fait genre il connait des bons spots de pêche, mais il faudra attendre le 4ème ou 5ème avant d'en sortir un. On finira donc par en avoir 4 pour le dîner, suffisant quoi. Au moment de repartir en direction de notre campement, on entend un canoë à moteur qui s'approche, et Wilson nous fait nous cacher dans les branches. Et quand on lui demande pourquoi, ben on comprend pas trop la réponse (aucun rapport avec notre niveau d'espagnol). On a le droit de pêcher mais on a pas le droit, on a le droit de camper mais on a pas le droit, enfin bref on en sait rien quoi... Mais on se cache, puis finalement on sort de notre cachète, on croise le bateau à moteur qui nous salue, et on rentre. Bizarre mais c'est l'Équateur nous on est habitués :)

    On mangera nos bons petits poissons carnivores et nous voilà parti pour une marche nocturne. Mais qu'a fait notre guide avant de nous emmener nous balader dans les bois? Il nous a raconté des histoires qui font peur... Et du coup quand tu marche de nuit près de la frontière colombienne (oui celle qu'on a pas eu le courage de traverser en bus) avec un mec que tu connais pas vraiment et qui se balade avec une machette, ben t'as des scénarios un peu noirs qui te traverse l'esprit. Surtout que la marche ressemblait étrangement à notre balade du concerto des grenouilles avec Marion et Lolo, tu marches sous la pluie pour ne voir que deux maudites araignées et lézard. Super! Mais bon finalement il ne nous sera rien arrivés sauf qu'au moment d'aller faire dodo ben Caro est pas super tranquille non plus. La nuit fut donc compliqué... Premièrement on avait pas de matelas, donc c'est dur de dormir profondément, et puis y'a un de ces boucans dehors! Alors c'est pas des voitures ou de la musique, mais c'est pas vraiment rassurant, disons qu'on est plus habitués aux bruits d'origine humaine :) Et puis ça monte crescendo, au début c'est les criquets, puis les grenouilles puis vers 5h du mat tu te réveilles en sursaut au son d'un rugissement énorme. Et là tu te demandes si tu t'es téléporté dans la savane africaine. Et en fait presque, puisqu'au PDJ on apprendra que c'était un jaguar situé à 200m de notre campement selon les estimations du guide qu'on avait entendu... Excellent!

    Au réveil on partira se faire une marche matinale sur nos traces de la veille. Et là c'est de suite plus intéressant quand tu vois quelque chose et qu'on t'explique à quoi sert telle ou telle plante etc. Je me serai même prêté à l'exercice de goûter des fourmis qui ont le goût de citron (c'est vrai) et à mastiquer une racine aux effets anesthésiants (moins vrai, je sens encore ma langue mais le guide qui en a lui bouffé un arbre entier a un peu plus de mal à articuler, comme si on le comprenait déjà trop bien quand il parle). On retourne au camp, on plie bagages et on rentre déjeuner au lodge avant de repartir l'après-midi pour dormir au sein d'une communauté indigène.

    On fera la moitié du trajet en canoë à moteur parce que la communauté vit vraiment loin au fond de la jungle. On a été assez surpris de la communauté. On s'attendait à un truc un peu typique, et on est arrivé dans une mini ville, avec l'électricité, des lampadaires et où on peut pas vraiment dire qu'on a été accueilli. On a planté notre tente dans une case destinée à accueillir des touristes la journée pour des démonstrations de fabrication de pain ou de je ne sais quoi. En fait la communauté est visité par des dizaines de touristes chaque jour, et du coup deux de plus ou deux de moins ils s'en foutent. Du coup on ne rencontrera personne, à part la femme du chaman qui a revêtu une robe un peu ridicule pour nous faire un pain à base de yuca (manioc loal, cool pour Caro) et le chaman (ou le "faux" chaman comme Caro l'appelle) qui lui aussi arborera un accoutrement ridicule pour nous parler de leur drogue locale qui leur sert à méditer. Bref on se croirait au grand cabaret de Patrick Sébastien plus que dans une communauté indigène d'Amazonie. Du coup pas grand chose d'autre à vous raconter sur la communauté, on retournera au lodge pour notre dernière nuit, sans vraiment avoir pu partager quelque chose avec les indigènes.

    Le programme de notre dernière journée est parfait. On part à la chasse aux anacondas l'après midi, à la tombée de la nuit, chasse aux caïmans et ensuite après dîner une petite séance de sport local avec pêche à la machette :) On rentrera bredouille de notre chasse aux anacondas, à croire qu'on nous a menti, à croire qu'il n'y en a pas ici. La chasse au caïman elle sera fructueuse, on en verra un "petit" de 2m50 à peu près, oui ici pour les guides moins de 5m c'est "petit". On retourne au lodge pour dîner, prendre des forces pour notre partie de pêche à la machette. Seul petit hic, depuis le début de l'après midi, je sens comme une révolution dans mon estomac, probablement initié par une mayonnaise douteuse plus tôt dans la journée. Et ça n'a pas manqué. Je n'aurai même pas la force de descendre pour le dîner, je resterai cloué au lit toute la nuit, annulant complètement donc notre activité du soir, puisque Caro ne se sentait pas d'y aller toute seule avec le guide (encore quelques petites histoires glauques de la soirée camping en tête). Turista 1 - Tom 0. Nuit horrible donc, je vous passe les détails et je ne pourrai même pas me lever le matin pour une dernière observation d'oiseaux au lever du soleil. Celle ci Caro y sera allé, moi j'ai regardé les photos quand elle est rentrée :). Turista 2 - Tom 0.

    Le retour se passera pas trop mal, on s'est prévu un petit bus de nuit ce soir jusqu'à Guayaquil (ville de départ pour les Galápagos). Je me sens mieux, ça devrait passer, et ça passera sans trop d'encombres. On verra même finalement un anaconda :) youpi on les aura tous vu! Turista 2 - Tom 1. Score final. Je jouait pas non plus à domicile :)

    La soirée à Guayaquil fut plus agitée que prévu. On quitte notre auberge direction le marché artisanal pour se trouver des chapeaux stylés pour notre séjour sur les îles et on passe tellement de temps dans la boutique à négocier, qu'on ressort avec deux chapeaux à moitié prix (36$ pour 70$ annoncés au départ) mais également sous un déluge. Je pense que j'avais jamais vu ça de ma vie... En 15min, l'eau a envahi la ville, inondé les routes et les immeubles. On avait tellement bien négocié qu'on avait plus 1$ en poche pour prendre un taxi, alors on a couru, s'abritant là où on pouvait mais en vain. Quand on traverse les routes avec de l'eau jusqu'au genou (véridique) on peut difficilement s'attendre à rentrer sec après 20min de marche :) Mais la tempête aura quand même fait 4 morts, alors on se dit que rentrer mouillés c'est finalement pas si grave :)

    Plus qu'une petite nuit dans cette super auberge dégotée sur le net, et demain, à nous les tortues géantes :)

    Tom, pour los Gringos

     

     

    Le Lodge :)

    Petite baignade, Laguna Grande, entre anacondas et caïmans

    Le campement, et si vous regardez bien derrière, y'a la jungle et RIEN :)

    Se frayer un chemin à la machette

    Pêche aux piranhas

    Caro did it :)

    Le dîner est presque prêt

    À la recherche du bébé corbeau!

    THE Jungle

    Moment détente dans la communauté

    Quand Tom se prend pour Tarzan

    Sur la Laguna Grande

    Petite ballade au milieu des arbres inondés

    Bouh ! Le monstre

    Coucher de soleil privilégié

     

     

    « L'ascension d'une vie, notre très cher Cotopaxi...Islas Galapagos... Et dire qu'on a failli passer à côté! »

  • Commentaires

    1
    Cathy et Jéjé
    Dimanche 18 Mai 2014 à 11:00

    Eh bien on l'attendait cette suite des aventures des Gringos... On pensait même que vous vous étiez faits manger par les anacondas.... Non je plaisante! Encore de belles aventures mais moi les "petites" bêtes je vous les laisse car ça j'aime pas du tout.

    On attend la suite avec les Galápagos les journées ont dû être plus calmes quand même. 

    On vous embrasse tous les deux très fort. À bientôt.

    2
    FloGillou
    Dimanche 18 Mai 2014 à 16:32

    Par où commencer...? D'abord on voit que le Bonheur vous rend de plus en plus beaux ! à moins qu'il faille appeler ça les Vacances... l' Aventure, on ne sait pas trop en fait... Ensuite, le journal est hilarant ! effrayant, génialissime...! on ne sait pas trop bien non plus.... Dans tous les cas, on a pris un immense plaisir (et c'est peu dire) à le lire et à vous imaginer ! C'est géant !!

    Tom, rassure nous... tu aurais tout de suite sauté à l'eau pour aller sauver notre Caro des vilaines dents des caïmans car elle nous a semblé légèrement en équilibre au bout de la pirogue...?!? Trop merci de nous faire partager vos péripéties mais heureusement qu'on est pas vraiment conscient de ce que vous allez faire ! ça nous fait bien rire, même pleurer de rire Après ! ça nous ferait peut-être moins rire voire pleurer tout court Avant !! 

    Vous êtes des as de la démerde !  prenez archi soin de vous !! Tom, laisse tomber définitively la mayo mais garde ta plume !! Caro, après les truites au Canada, les piranhas en Amazonie, oublie la pèche aux requins !!

     Gros bisous et enjoy !!!!!!!

    3
    Mamiré
    Dimanche 18 Mai 2014 à 18:56

    beurkQuel bonheur de vous retrouver!!!mais qu'elle peur rétrospective à suivre vos aventures , mais quand même au milieu de tous ces dangers Tom se laisser avoir par une mayonnaise , il faut le faire

    continuez d être prudents pour notre tranquillité , mais fous pour le plaisir de vous lire

    bisous !

    4
    Mouchacho Akwaba
    Lundi 19 Mai 2014 à 00:23

    Pour nous aussi le ressenti reste flou : on a l.impression que vous prenez beaucoup de risques aussi bien par l.absence de confort que par la confiance que vous mettez dans des gens que vous connaissez à peine. Bon, mais c'est aussi vu de France et nous n'avons plus le même âge....

    Et donc notre conseil : continuez cette belle aventure mais entretenez au fonds de vous cette notion de risque et même si cela fait maintenant plusieurs semaines que vous vous en sortez remarquablement bien, restez vigilants.

    Bises, on vous adore...

    5
    Annie
    Lundi 19 Mai 2014 à 00:28

    Un dimanche soir à minuit, lire un tel livre d'aventure de nos gringos préférés, n'invite pas au sommeil!!!


    Heureuse de vous savoir rentés de cette jungle.


    Mais comment trouve-t-on de la mayo en pleine jungle???


    C'est sans aucun doute de la mayo qui met en vrac "le microbiote intestinal!!!


    Bisous.Prenez soin de vous.


     

    6
    bbima
    Lundi 19 Mai 2014 à 11:35

    c'est parfait. Nous ne sommes pas déçus, il ne manque que les bruits, et je suppose les "cris"de surprise de Caro face au poisson mangeur d'homme pendu à la ligne..."Comment vais je le décrocher sans me faire mordre ??" Pour le reste vous restez dans l'aventure et vous vivez dangereusement !...Risquer une mayonnaise dans la jungle!!!...Moi je fais pas ! Déja  dans un "flunch" je passe devant les œufs mayo, et je laisse!  

    Mais que vouliez vous pêchez la nuit avec une machette??  A part découper un anaconda en rondelles pour faire des darnes ? ou chasser le vers luisant?  En attendant votre campement fait penser aux parcours d'entrainement commandos. Survie dans l'environnement hostile. c'est très bon pour vos prochains "job". Vous êtes prêts pour affronter la jungle humaine dans le milieu professionnel...En plus de la situation élevée, vous savez gérer le stress !.......Quel CV !

    C'est fabuleux, mais comme dit plus haut: ne surestimez pas vos possibilités. assurez toujours un repli et soyez vigilants.

    Merci de nous faire partager tout ça... Comme ça. <3   On vous embrasse

     

    7
    Vanessa
    Vendredi 26 Juin 2015 à 03:27

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